PREMIERE SOUPE IDENTITAIRE A MARSEILLE...

Publié le par Louis

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Le samedi 24 novembre, l’association Solidarité Marseille lance sa première “soupe au cochon” dans la cité phocéenne.

 

Tout le monde (ou peu s’en faut) a entendu parler de cette “soupe identitaire” qui a défrayé la chronique avec ce slogan choc “LES NÔTRES AVANT LES AUTRES”. Dans notre société qui se communautarise, seuls les autochtones, les indigènes que nous sommes ne font preuve d’aucune solidarité envers leur communauté… de sorte que nous voyons de plus en plus d’hommes et de femmes issus de notre peuple sur les trottoirs. Allons-nous abandonner nos frères de sang qui sont jetés à la rue, rejetés par notre société hyperconsumériste et farouchement individualiste ?

 

“Majorité (pour combien de temps?) invisible”, refuserons-nous de nous aider comme savent si bien le faire les “minorités visibles”? Après Paris, Nice, Strasbourg, Bruxelles et Anvers, c’est au tour de Marseille (ville éminemment symbolique!) de montrer qu’il y a encore des Français et des Européens solidaires de leur peuple, solidaires de leur communauté. Français et Européens qui, en servant une soupe à base d’une viande que l’on n’ose déjà plus servir dans de très (trop) nombreuses écoles de France et d’Europe, montreront leur détermination à ne pas céder leur terre aux allogènes ! Occupons le terrain et restons ainsi maîtres chez nous !

 

Voici quelques précisions sur nos objectifs apportées par Roger Bonnivard de l’association SDF (Solidarité des Français) à Paris :

 

“POUR TOUCHER LE PEUPLE On ne peut pas prétendre représenter le peuple et agir en son nom en restant loin de lui, il faut s’enraciner dans sa communauté. Certains parlent du peuple, mais ne le fréquentent pas. D’autres parlent du social, mais n’en font pas. Il faut arrêter de parler du social dans les salons et derrière les claviers, il faut agir. Le combat social, c’est un état d’esprit qui se vit au quotidien, dans la rue, au contact de ceux qui souffrent, aussi démunis soient-ils. Actions concrètes, aide directe, engagement réel, aucun objectif électoraliste, simplement rétablir le lien social dissout dans l’individualisme triomphant de notre époque, voilà nos motivations.

 

POUR NOUS RASSEMBLER Si les mots divisent, les actes rassemblent. C’est le plus important : rien de tel qu’une corvée de pluche ou qu’une soupe partagée dans la rue pour dépasser les clivages et fédérer les différents courants de pensée. Tant il est vrai que l’essentiel est d’agir tous unis pour combattre la misère des nôtres…”

 

Rendez-vous donc à tous SAMEDI 24 NOVEMBRE à 20 h 00 devant le Palais de Justice de Marseille. 

Publié dans Information Nationale

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