Obsèques d'Anne-Lorraine: communiqué de Dies-Irae.

Publié le par Unité

 

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Communiqué du 1° décembre 2007



Nous apprenions dimanche soir, en même temps que les émeutes qui ont semé la terreur dans les banlieues, qu’une jeune fille de France avait été sauvagement assassinée dans la matinée de dimanche sur la ligne D du RER. Cette jeune fille se prénommait Anne-Lorraine, Anne comme la mère de la Vierge Marie, Lorraine, comme la terre natale de Sainte Jeanne d’Arc. Ce prénom, si différent de tous ceux d’aujourd’hui était celui d’une jeune catholique de 23 ans, d’une jeune femme française fière de sa foi et de ses origines.

À ce titre son martyr est symptomatique de toutes les tares de la société française. Dimanche matin, Anne-Lorraine se rendait à la messe à Orry La Ville, dans l’Oise où l’attendaient ses parents, quand elle rencontra son agresseur. Celui-ci, d’origine turque, a tenté de la violer sous la menace d’un couteau. Ne pouvant parvenir à ses fins, en raison de l’héroïque résistance de sa victime, il s’est alors acharné à coups de couteau (une trentaine de coups, dont un au cœur, ont été relevés par les enquêteurs), avant de descendre tranquillement de la rame, laissant Anne-Lorraine agoniser.

Ce crime horrible nous ramène aux temps les plus barbares et nous prouve une fois encore que l’immigration est une « chance pour la France ». Ce n’est pas la première fois qu’une jeune Française de souche est victime des barbares qui colonisent notre pays. En 1996 déjà une jeune policière du nom de Sandrine avait été victime d’un viol collectif avec acte de barbarie dans le RER.
Le viol est une des armes favorites des armées d’occupation, l’histoire en est témoin.

Si ce crime a une forte connotation raciste, car ce n’est pas une Rachida qui a été assassinée mais une Française, il faut avoir à l’esprit que les responsables sont tout autant nos dirigeants que l’agresseur lui-même. En effet, ce dernier avait été condamné, il y a une dizaine d’années pour viol sous la menace d’une arme, à 5 ans de prison dont 2 avec sursis. Une peine aussi clémente pour un crime si odieux est-elle digne d’un pays civilisé ? Car le véritable scandale est la faillite du système judiciaire français depuis trois décennies. Les vrais responsables de la mort d’Anne-Lorraine sont les ministres de la justice qui se succèdent depuis 30 ans et qui n’ont cessé d’amenuiser l’échelle des peines, en supprimant notamment la peine capitale qui, par un effet mécanique, rehaussait la dite échelle. Sont également responsables les magistrats et juges, qui, au nom d’une conception dévoyée de la justice, ont toujours un a priori favorable à l’égard du criminel, et de fait les condamnent à des peines trop légères, quant ils ne relâchent pas de tels animaux sauvages dans la nature. Les responsables sont enfin une pseudo-élite intellectuelle autoproclamée, qui depuis 40 ans considère que le criminel est victime de la société et de l’exclusion. Grâce à ces « belles âmes » la France a perdue une âme d’élite, une catholique courageuse et fière de ses convictions.


La ligne de Dies Irae est claire et intransigeante.

Nous voulons :

- Dénoncer tous les coupables et placer les politiques et les magistrats devant leurs responsabilités.
- Lutter pour le rétablissement de la peine de mort, et pour un durcissement de l’échelle des peines.
- Revenir sur l’abrogation de la double peine qui doit nous permettre de nous débarrasser définitivement des délinquants étrangers.
- Exiger la dépolitisation du corps de la magistrature, qui, depuis plusieurs décennies est la chasse gardée de groupes gauchistes aussi nuisibles que sclérosés et dont le seul but est de saper toute autorité.

http://www.dies-irae.eu/

Publié dans Information Locale

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